L’iniquité d’une telle condamnation, puisqu’on condamne quelqu’un pour ses idées ainsi que son avocat (ce qui est une menace pour tous les autres qui oseraient en faire autant) est flagrante. Les circonstances du moment , en toute synchronicité : gilets jaunes, incendie de Notre Dame, économie en rade et abus de pouvoir sont évidemment à mettre en parallèle d’une condamnation éminemment politique.
Il y aura un retour de bâton inévitable. L’injustice finit toujours par se retourner contre ses auteurs. Ce n’est qu’une question de temps. Et là Alain Soral est visiblement déterminé.