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Cette révolte a été attribués aux communistes algériens qui furent arrêtés et torturés comme cela s’est passé en Allemagne nazi à l’époque de Rosa Luxemburg, mais bien avant les évènements à proprement parler d’octobre. Là ne se trouve pas l’essentiel. L’essentiel est la pseudo-ouverture démocratique qui a débouché sur la création d’une soixantaine de partis opportunistes et avides des aides de l’État sans aucune contre-partie de veille sur les intérêts supérieurs de cet État algérien. Pire, ils se sont avérés ses pires ennemis et ont engagé l’Algérie dans une guerre fratricide et d’usure en obligeant l’État à fournir des efforts colossaux qui aurait mieux servi à son développement et son économie qu’il avait finis par ouvrir au marché mondial et ses appétits, mais pas suffisamment pour contenter tout le monde. Surtout ceux qui voient en la chine et la Russie les ennemis à abattre que notre cher lecteur désigne par la main étrangère à qui l’État algérien fait appel pour contrer la révolte du peuple sur une simple interprétation d’actes diplomatiques.
Il est vrai que tout se joue sur les symboles de l’unité, auxquels viennent se greffer les références religieuses, les références culturelles, linguistiques et autres. En Algérie, ces références sont prises en otage pour mieux diviser le peuple et l’éloigner de ses préoccupations existentielles qui se résument à trouver de quoi se nourrir et vivre. Les croyances rigides ont fait disparaitre beaucoup de peuples et de civilisations. Rien de nouveau sous le soleil. Pour faire bref, j’ai dû taire beaucoup de choses. le nouveau Daeh ou bien Isis soft s’appelle le congrès de l’umma et a changé son drapeau Dieu Prophète Mohamed (en arabe) au centre sur fond noir par le même drapeau sur fond bleu. Quant aux protagonistes, ils restent les mêmes avec le soutien d’Erdogan et du Qatar en première ligne. Le Qatar qui a la confiance de tout l’Occident.
Un peuple sans puissance militaire et économique ne peut résister que par son unité . Il n’existe pas d’autres chemins.