Les Noirs, les Arabes, les juifs et les Blancs
2 avril 2019 01:40, par SamWang[ Démonstration de la scientificité du concept de race ]
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"On the other hand, several studies have demonstrated a geographic structure in modern human craniometric diversity on a global level (e.g., Howells, 1973, 1989 ; Hanihara, 1996). Craniometric data have been found to follow a common geographic pattern with genetic markers, including both classical and microsatellite DNA markers (Relethford, 1994, 2004a, 2009 ; Manica et al., 2007 ; Betti et al., 2009). These findings have been interpreted as resulting from an isolation-by-distance model of evolutionary diversification. Furthermore, population relationships inferred from cranial morphology (as reflected both by traditional linear measurements and by 3D geometric morphometric data) have been shown to match those inferred from genetic data (Roseman, 2004 ; Harvati and Weaver, 2006a,b ; Smith, 2009). Taken together, these results suggest that human cranial morphology preserves a relatively strong population history signal, in addition to a climatic and possibly also dietary/masticatory signal (e.g., Relethford, 2004a)."
Je propose une traduction de cet extrait ci-dessous :
« D’autre part, plusieurs études ont démontré une structure géographique de la diversité craniométrique humaine moderne à l’échelle mondiale (par exemple Howells, 1973, 1989 ; Hanihara, 1996). On a constaté que les données craniométriques suivent un modèle géographique commun avec les marqueurs génétiques, y compris les marqueurs ADN classiques et microsatellites (Relethford, 1994, 2004a, 2009 ; Manica et al., 2007 ; Betti et al., 2009). Ces résultats ont été interprétés comme résultant d’un modèle d’isolement par distance de diversification évolutive. De plus, il a été démontré que les relations de population déduites de la morphologie crânienne (telles que reflétées à la fois par les mesures linéaires traditionnelles et par les données morphométriques géométriques 3D) correspondent à celles déduites des données génétiques (Roseman, 2004 ; Harvati et Weaver, 2006a,b ; Smith, 2009). Pris ensemble, ces résultats suggèrent que la morphologie crânienne humaine préserve un signal relativement fort de l’histoire de la population, en plus d’un signal climatique et peut-être aussi alimentaire / masticatoire (par exemple, Relethford, 2004a). »
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