Quotas obligatoires de femmes dans la Fonction Publique
12 février 2011 00:43, par Un facho assuméBien que d’accord sur le fond, je me gausse de la forme. Pourquoi aller chercher si loin, le réel est là.
Ouvrez les yeux : Paris est remplis de ces femmes faussement libérées confrontées à leur échec. Des ventres fanés qui cherchent à s’assouvir car le travestissement social en homme ne peut biologiquement pas les amener à l’épanouissement qui passe pour une femme par la maternité tant pour son aspect biologique que social. L’humain peut penser sa condition de mamifère, pas s’en abstraire. C’est pourtant le jeu de dupes au quel se soumettent toutes les féministes assumées ou non.
La ou je diverge foncièrement de la ligne de votre intéressante association c’est sur le plan économique. Plus précisément le rôle de l’économie dans la vie. L’homme qui ramène argent, contrats, chèques ou autres trophées dans son foyer se réalise en tant qu’homme tout comme son ancêtre le faisait avec la dépouille d’un animal chassé. Les peaux de bêtes sont remplacées par les costumes de couturier et le gourdin par la voiture de sport mais le fond ne change pas.
Je partage vos opinions sur la nuisance de la finance contre l’économie réelle, mais force est de reconnaître que le mâle dominant est désormais celui qui arrache du fric aux autres comme celui qui ramenait à son foyer le meilleur morceau d’une bête.
Vous remarquerez qu’à de rares exceptions près la poufiasse médiatique à pour vocation de finir comme femme d’un riche ou d’un puissant, je suis prêt à parier qu’Anne Sinclair est bien plus heureuse que Claire Chazal (je partage pourtant votre détestation du mari de la première). Nous en revenons au même point. Si vous doutez encore, demandez vous pourquoi les parisiennes au delà de trente ans se prostituent littéralement pour les hommes qui ont une situation et ne sont pas dans l’éternelle adolescence (enfance + sexualité immature) que les médias nous vendent.
Je conclue par un exemple agaçant pour susciter le débat : prenons Michel Houellebecq. Avortons neurasténique si il en est. Eh bien qu’en est il dans nos codes sociaux actuels ? C’est un mâle dominant du fait de sa richesse et de sa célébrité. Si vous en doutez demandez vous combien de pétasses pseudo intello de la moitié de son age a t il pu se faire grâce à son statut.
J’ai bluffé quand à la conclusion, j’ajoute encore une (des ?) remarque pour éclairer le sujet d’un autre point de vue : la femme chinoise considère comme plus moral d’aimer un homme riche qu’un homme beau. Pourquoi ? Car l’avorton restera eternellement prisonnier de son corps alors que le pauvre a une chance infime d’échapper à sa condition.
Merci de m’épargner vos remarques sur "ouh le petit gros du collège qui s’est vengé en faisant du fric". C’est effectivement mon cas et je le vie très bien :D.
A mon avis cette humilité devant la réalité est un des moteurs d’un fascisme que j’assume.
Pour vous donner encore quelques cartouches, je suis membre d’un parti qui a élu une femme comme chef (y compris avec ma voix), car de mon point de vue :
Elle a plus que beaucoup d’hommes les attributs virils d’un chef
Comme tous les hommes d’état elle renonce à sa personne pour un destin historique. Pour être honnête je suis convaincu que c’est une mère et une épouse insupportable et malheureuse... à l’instar de leur rôle d’homme/père pour tous les grands dirigeants.
J’espère recevoir une volée bois vert argumentée et serais très déçu que la censure au petits ciseaux rabougris l’emporte.