La réalité de l’Homme moderne se déverse en deux sens primaires, celui de la vertu et celui du vice. Chacun menant à sa vocation par pure essence : l’un à l’harmonie et la raison, l’autre au chaos et la folie.
Non, je refuse catégoriquement le débat sur l’existence même du bien et du mal, vers lequel tend toujours plus ce fléau à portée de main que sont ces émissions du pouvoir profond, stériles à la pensée humainement seine. Le Bien existe, tout comme le Mal.
Ses agents malades les plus obscures le savent très bien et cherchent à tout prix à nous le faire oublier durablement. Le Bien est infiniment plus fort que le Mal, et c’est pourquoi la confusion de masse est leur moyen de prédilection pour parvenir à leurs fins.
Lorsque l’Homme a fait le choix de sa liberté individuelle, il y a bien longtemps, la confusion a pris le dessus, et l’on peut s’y permettre d’ajouter que Voltaire y a joué pour beaucoup.
Face à l’omniprésente propagande du vice, sa dictature de la bien-pensance, sa planification programmée de l’obsolescence humaine, sa pornographie abjecte, face à la science déifiée, au néant, à la corruption, à l’incompréhension, au fanatisme et au fatalisme, face à la folie du chaos, je fais le choix de l’harmonie de la raison, celui de la vertu.
Maintenant que je le sais au plus profond de moi, je fais en plein état de conscience le choix du vrai, du bon et du beau. Face aux résolutions de l’erreur et du faux, c’est authentiquement libre de ma pensée malmenée que je fais le choix de l’absolue cohérence, de la confiance résiliente, celui de l’amour de l’âme.
C’est en réprouvé que je sors de mon coma pour atteindre l’Éveil Parfait, celui que nul ne pourra vaincre, et ce en quoi je prête mon Allégeance Suprême. C’est dorénavant toi que je servirai jusqu’à ma Mort et au prix de ma Vie. C’est enfin libre de cette peur décérébrante que je fais le serment d’honorer ta Voix Trinitaine, ma devise Véritable, celle d’Alliance, de Résonance et de Mercy. Chante-le moi encore et encore.
Oui te voilà enfin ! Vérité ! Vérité absolue de l’être qu’y est le mien, celle dont je ne saurai me taire ! Ô grande disparue de ces mascarades télévisées, dont les corps politisés trahissent sans cesse ces discours creux de sens théâtralisé, vomissant d’immondices mensonges de conscience, source d’inhumaine haine au service de l’ignorance.