"On supprime une vie" : le patron du syndicat national des gynécologues provoque un tollé sur l’IVG
14 septembre 2018 17:04, par kantor
le véritable progré, concernant les grossesses non désirées, aurait été de les rendre acceptables par la société d’abord, avec un travail de fond de la société, un peu comme pour les invertis, pour que cela le devienne ensuite par la maman. Et une prise en charge matérielle et affective totale par l’état. Que cela soit pour la maman un "bonus", au lieu de quelque chose de honteux.
C’est à dire le contraire de ce que les pro-mort proposent...