Six scénarios d’un monde sans travail
29 juillet 2018 05:18, par scénario septScénario sept : la robotique est incompatible avec la démographie galopante.
La démographie galopante dans un pays non agricole, développé, policé, est l’oeuvre et la volonté d’escrocs. Par ce moyen criminel (encourager l’invasion et la natalité débridée des moins adaptés) ces escrocs divisent, utilisent, sous-paient une population devenue universellement nécessiteuse, en sélectionnant à leur seul usage les plus performants, aussi bien pour faire leur ménage (tâche qui demande un vrai talent) que pour la recherche de haut vol.
Il s’agit pour cette caste profiteuse d’empêcher le développement dans la population parasitée d’une classe concurrente, assez aisée et formée pour avoir le temps de penser et exiger son dû.
Bien. Beau plan.
Ils se croient malins.
Au bout d’un moment, c’est idiocracy.
Les castes criminelles ne produisent pas d’élite chercheuse, dévouée, imaginative, littéraire, artistique, scientifique, etc. Elles sont constituées de clones obéissants au groupe mafieux, donc dépourvus de créativité.
Alors plouf la société des robots déchargeurs de tâches stupides et épuisantes, tout à fait souhaitable (travail signifie torture chez les Romains).
Guerres internes entre castes, retour aux rapports de force brute, faits-divers. Elimination d’une grande partie des êtres humains, par extinction ou catastrophes.
Sur les décombres s’érige une nouvelle élite. L’ancienne, qui se croyait telle et ne l’était pas, a disparu dans la cata générale.
La robotique se redécouvre.
Seules les tâches significatives demeurent : élever les enfants, les éduquer, fabriquer de ses mains une chose unique, soigner, distraire, écrire, analyser, entretenir, charmer, consoler, gouverner, bâtir, cultiver, conduire, aimer, se défendre, vaincre, chercher.
Pour tout cela, il faut donner de sa personne.
Alors Dieu revient, en force, ainsi que toutes sortes de règles logiques et bienveillantes pour l’ensemble de la société.