La vitesse et surtout l’intensité des mesures de protestation des états anglodépendants envers la Russie tant à crédibiliser la thèse de l’attaque sous faux drapeau. On dirait en effet que les sanctions étaient déjà prêtes et n’attendaient plus que le casus belli pour déferler. Les Anglais font tout pour que leur chasse gardée, c’est-à-dire L’Europe, reste impénétrable aux influences russes. La Russie est en effet le seul "compétiteur" de taille à l’hégémonie anglo-protestante et de fait, les É.-U. et la GB dépensent sans compter et depuis longtemps pour qu’il n’y ait jamais d’alliance entre l’Allemagne et la Russie. La rigueur de l’ingénierie allemande alliée à l’abondance de matière première russe pourrait menacer l’Empire du "bien".