Cérémonie des Oscars : la soupe de la déconstruction ad nauseam
12 mars 2018 18:34, par Mickaël
J’avais vu "Le labyrinthe de Pan" du même réalisateur. En plus d’être assez gore, on retrouve le même schéma que dans "La forme de l’eau" : le camp du bien est incarné par une petite gamine intelligente, tandis que le camp du mal l’est par un officier de l’armée franquiste sadique et forcément chrétien (le film se déroule pendant la guerre civile espagnole). Mais dans son nouveau film, del Toro va encore plus loin, puisqu’il livre une apologie évidente de la zoophilie. Comme par hasard, tous les pseudos-critiques de cinéma font l’éloge de ce navet malsain en nous expliquant que c’est une merveilleuse histoire d’amour sur fond de fantastique...