(partie 2)
La schizophrénie n’est pas vraiment une maladie mentale (sauf pour ceux qui croient au système actuel comme unique modèle standard), mais plutôt un contact sensible avec certaines fréquences spécifiques. Il y a l’imagination, certes, mais cela reste une énergie cosmique.
Lorsque des gens n’ont plus rien à perdre, ils se mettent à délaisser le tout qui les entoure. Le monde qui les entoure devient incohérent, pour certains (les plus jeunes) si ce n’est pas la mort par suicide, c’est l’escapade dans des univers parallèles.
La distance devient souvent trop importante, et n’ayant pas le fil d’Ariane pour garder un contact commun avec la société dans laquelle leurs corps sont encore physiquement attachés, ils se marginalisent, puis finissent "encadrés de force, ou éliminés a feux moyens, en milieux stérilisés et aseptisés".
En effet, les bonnes gens (cette France que je méprise) n’aiment pas les questions dérangeantes...
Le système de consommation formate un univers particulier, conformément à l’époque actuelle (calandriers officiel) mais le temps n’est qu’une illusion. Oser imaginer différent espaces-temps est du domaine acrobatique "sans filets" Alors, gars à la chute pour les djeunes qui se lancent sur cette voix.
Grégoire XIII modifia le système romain pour réduire de trois jours tous les 10 000 ans le décalage sur une année dite astronomique... Cela reste très vague, quand même...