Y-aurait-il un public pour ça, le "polar écouillé" ?
Parce que du coup, pas non plus de femme fatale, manipulatrice, etc...
Le polar, normalement, ça commence pas très bien, et ça "finit" largement pire, hein...
Un polar avec une happy end, une fin heureuse, ça n’intéresse personne.
Les personnages sont là pour en chier, et la plupart ne comprennent ni n’apprennent rien, dans l’intervalle.
Au pire, ils crèvent : c’est trop tard, au mieux, ils repartent vers d’autres embrouilles : ça continue.
Notez que le public de notre spécialiste des tueurs en série Stéphane Bourgoin est très majoritairement féminin : ça "fait question", comme ils disent sur France Culture...