21 janvier 1793 : les dernières heures de Louis XVI
21 janvier 2018 18:56, par anonymeJe voudrais rajouter que la France paie depuis ce jour funeste le déicide qu’elle a laissé faire. En effet, en dépit de ce qu’ont voulu nous faire croire nos instituteurs et nos "historiens aplatis", la France ne fait qu’aller de défaites en défaites :
le premier empire finit en eau de boudin malgré les 100 jours et toute l’Europe occupe la France et règle son sort au Congrès de Vienne ;
le second empire finit en mortadelle à Sedan en 1870, suivi par la commune et la réinstallation de la très maçonnique 3e république ouvrant la voie au triomphe du libéralisme à la mode radicale ;
1914-1918 que nous aurions gagné mais tout de même grâce à l’aide des alliés et à la révolution bolchévique russe de 1917 ;
l’ignoble traité de Versailles qui nous amènera à la revanche de l’Allemagne et à la déculottée sévère de juin 1940, à la collaboration ; fin de la 3e république ;
retour de la franc-maçonnerie dans les fourgons gaullistes et épuration dirigée surtout contre les élites françaises ; naissance de la très pourrie 4e république ;
défaite du canal de Suez en copinage avec les Anglais, défaite de Dien Bien Phu et éviction du sud est asiatique, perte de l’Algérie française avec tout que cela comporte d’horreurs et de nouvelles semences de rancune pour l’avenir ;
instauration en 1958 de la 5e république, un petit moment de bien être économique et de paix sociale jusqu’en 1968 et période des "chênes qu’on abat"...
depuis, instauration du gauchisme d’état, de gouvernements libéraux-libertaires avec idéologie bourgeoise-bohème friquée et dégringolade de la France à tous les niveaux, soumission au N.O.M, à l’OTAN, à Israël (tiens, pourquoi ?), déconstruction, bradage de notre industrie, de nos technologies, invasion, installation aux manettes des plus pourris de l’anti-France, dépeçage du pays façon puzzle tant économique qu’administratif. Si ce n’est pas une punition qui dure depuis 225 ans, qu’est-ce alors ? C’est une éclipse qui dure quand même depuis longtemps, excusez-moi...