Paris ville poubelle ou le management "panique" d’Anne Hidalgo
28 novembre 2017 19:41, par Savonarole
J’adorais le Soral de cette période ! Je l’adore encore aujourd’hui évidemment. Il reste de manière incontestée le boss final de la dissidence.
Mais là on le sentait plus léger, moins politique, moins mature aussi (il le reconnait lui même à la fin). Un Soral en roue libre, plus proche temporellement de l’époque Ardisson, misère du désir et confession d’un dragueur. Moins tragique.
On ressent bien à travers cette évolution le passage d’une époque encore un peu optimiste (CDM 98, fin de la chiraquie) à une époque vraiment maussade (attentats, grandes migrations, Lybie-Syrie, Valls, Soros...).
À suivre !