Quand Arte évoque La Vilaine Lulu d’Yves Saint Laurent
5 octobre 2017 08:52, par nous
Là encore la clique se sent obligée de rattraper un travail déficient, dans le cas Lulu par l’animation. Le dessin (de base qualité, de l’aveu même du gerbant feu Bergé) passe mieux en effet dés qu’il bouge.
Toujours et encore la clique impose la médiocrité et même la nullité des oeuvres et des gens là où le talent et le résultat primaient, pour mettre plus tard la main dans la poche des gens qui bossent, dans l’espoir d’égaliser, rattraper, compenser ce qu’elle vient de commettre. On voit ainsi l’EN et les instances politiques, submergées de nullards flattés et gavés sans raison plausible, puis chargées d’assoces payantes et de rajouts coûteux pour essayer de faire marcher ces guimbardes à explosion, ou simplement créer l’illusion.