On s’embrasse et on oublie – Ép.2
18 juillet 2017 12:14, par Le P’tit Théâtre du Mouchoir
Qu’avons-nous à redouter plus encore de ces morveux, dont la toute puissance à peine pubère libère de la cruauté à jamais.
De la jouissance en soi de sa supériorité ; Et, comme Dieu se suffire à soi-même ?
Éprouver n’est rien que passager ;
Quand craindre est routiner.
Il n’y a aucune grâce dans le jeu du Mouche-moi le nez.
La morve qui dégouline est affaire d’intimité qui ne doit s’exposer à la vue de traitements inadaptés, ni au jeu mauvais de l’Esprit sans corps.