Aujourd’hui la PMA, demain la GPA, après-demain l’utérus artificiel et le transhumanisme
30 juin 2017 17:45, par conscienceLes méthodes d’élevage moderne sont de plus en plus glauques et laissent imaginer ce vers quoi tend notre monde qui souhaite autoriser PMA et GPA. etc...
l’élevage industriel est de plus en plus déconnecté de la nature. La reproduction naturelle y a totalement disparu et les vaches sont désormais uniquement « grâce aux vertus de l’insémination artificielle ».
le mauvais goût touche à son paroxysme. Le taureau en effet n’a jamais connu de vache : « pour s’affranchir des chaleurs et donc de la disponibilité de ces dames, on apprend l’homosexualité aux jeunes mâles prometteurs. C’est-à-dire à s’exciter sur un autre taureau qui hérite du gai sobriquet de « boute-en-train ». ».
Aux États-Unis, un groupe de scientifique mené par Pablo Ross, biologiste de la reproduction et vétérinaire à l’Université de Californie poursuit ses recherches sur les embryons hybrides humain-animal, Ainsi, l’équipe de biologistes planche sur l’implantation de cellules humaines iPS dans des embryons de porcs, dans l’espoir de développer des organes humains dans les fœtus de porc. La dernière en date : développer un pancréas humain dans le corps dune truie. Pancréas qui pourrait, théoriquement, être transplanté sur/dans un patient diabétique.Après avoir injecté les cellules humaines dans les embryons de porcs, l’équipe de Ross implante l’embryon dans l’utérus d’une truie. Bien sûr, l’incertitude fait partie du jeu pour un travail si controversé, et le biologiste n’exclut pas, néanmoins, de se tromper.
Un projet connu sous le nom « HGP-Write : Test de grands génomes synthétiques dans des cellules »
Bien que le clonage classique doit provenir du véritable ADN, le clonage synthétique utiliserait l’ADN synthétique et ne nécessiterait pas de source naturelle.Le professeur de génétique George Church à Harvard, qui a aidé à organiser la réunion, a déclaré que le but final était non seulement la création d’un « humain synthétique », mais il pourrait également créer des cellules qui ne seraient pas limitées aux humains.
Il a dit : « Ils sont en train de peindre un tableau sans savoir ce qu’il va représenter. »
Le groupe chinois Boyalife, assure qu’il dispose de la technologie suffisante pour cloner les humains. Seule la peur des réactions adverses de l’opinion réfreine la mise en application du clonage humain, ajoute-t-il.
Boyalife, construit la plus grande usine de clonage au monde, au nord de la Chine, DU CLONAGE ANIMAL AU CLONAGE HUMAIN, IL N’Y A QU’UN PAS.