Alain Soral interviewé par la première chaîne de télévision de Russie
28 mars 2017 03:13, par tonneau
Dieu merci, je suis russophone. Je l’ai appris au lycée et l’ai toujours pratiqué par la suite. J’étais très loin de me douter que ça allait être la langue de l’avenir, la langue de l’espoir incarné par la Russie. Je m’en félicite, un signe du ciel certainement.
J’ai dû comprendre 75% de ce qui est dit dans le reportage.