De plus en plus de Français victimes de la "maladie du soda"
20 mars 2017 22:43, par envolées_des_incultesEncore une analyse simpliste sur le thème de la médecine qui sombre dans le ridicule.
.
1) Les excès de sucre ne sont pas stockés sous forme de gras dans le foie, mais dans les cellules adipeuses.
Par conséquent, si le foie est gras, il convient de rechercher s’il y a un dysfonctionnement à ce niveau. ( y-a-t-il des intrus ds le foie ? )
.
2) Pour utiliser le gras comme source d’énergie, il est nécessaire d’avoir des vitamines du groupe B en quantités suffisantes. Idem pour que le foie puisse "éliminer" l’alcool (B1). Sans B1, on accumule l’alcool dans le foie, d’ou l’augmentation des transaminases/Gama GT et fibrose.
.
3) Quelles sources de gras en dehors de nos apports alimentaires ? => Des bactéries lactiques et autres bactéries "commensales" qui produisent des acides gras. Des quantités énormes d’acides gras sont produites par le groupe des streptocoques, mais il y en a d’autres. Les strepto. sont les plus gros producteurs d’acide gras de tout le microbiote humain connu. Conséquences ? Acidification, gras +++ =cholestérol, épuisement des stocks de vitamines B. Une production interne d’alcool a lieu (glycérol = "allume" les éthylotests même si ses effets diffèrent de l’éthanol) qui devra lui aussi être éliminé par le foie, et donc épuisera la vit. B1. L’acidification engendre maux de tête, ostéoporose, caries, lésions vasculaires... et une "négativité" des analyses sanguines recherchant des signes d’inflammation.
.
Le glucose favorise +++ la production d’acide gras par les streptocoques et la multiplication de bactéries. Pourquoi cette possible infection est-elle laissée de coté contre des explications à la con, genre "c’est le soda" ... Le sucre n’est pas directement responsable. Il convient de mettre en lumière les causes directes avec le phénomène constaté.
.
Limiter les sucres, faire monter les taux de vit. B semble déjà une première piste d’amélioration simple et peu dangereuse. Ensuite ou en parallèle, une antibiothérapie pour taper sur les bactéries en causes semble judicieux.
.
Ne pas oublier que les conséquences de la modernité, sans compter la sédentarité et la bouffe sucrée, sont aussi un environnement de plus en plus vicié, y compris in utéro, car a)nous sommes éloignés des végétaux qui offraient protection vs béton-bitume et b) les femmes font des enfants plus tard, donc leur matrice est elle aussi colonisée +++. Après 4-5 générations, les niveaux d’infections ne sont plus gérables longtemps par l’organisme et la maladie survient tôt.