Très juste dans le ton et la véracité. Cela s’appelle grandir.
Je me reconnais là en grande partie. Je n’aimais pas Soral comme j’ai détesté Le Pen par ignorance sur fond de bonne volonté. Maintenant c’est l’inverse, je respecte Alain et j’écoute ce qu’il dit (avec un gros coeur) avec un très grand intérêt tout en gardant un esprit critique. Il me reste la bonne volonté et le fait de vouloir le meilleur pour chacun avec bien plus de réalisme sur le contexte ambiant.