Triste réalité, de la violence des rapport sociaux, triste réalité de ne pas avoir le sentiment de la maîtrise de son existence.
Toutefois, n’en déplaise à certains camarades, il faut d’abord savoir de quel présupposé nous partons.
Nous savons tous ici, que notre système est en grave crise, il y a la crise de la valorisation du capitalisme et le reste qui suit, crise des valeurs morales, de libertés, intellectuelles et sociales, chômage de masse, populations surnuméraires.
Le système en crise n’est plus capable d’assurer, ce qu’il était censé apporter en terme de progrès.
Nous pouvons nous apercevoir dans les programmes divers et variés, de la propagande électoraliste, qu’au lieu de solutions, seules des rustines sont proposées.
Le système a mis en place les élections qui finissent toujours par favoriser la classe possédante, qui propose toute honte bue, des suppressions de postes, la casse des protections sociales, casse du code du travail, suppression de fonctionnaires, divisions des rapports sociaux servant d’écran de fumée, médias aux mains de multi-milliardaires.
Guerres sous divers prétextes mais servant l’intérêt des transnationales.
Ce qui se passe sous nos yeux, c’est un capitalisme totalitaire, qui se bat pour s’accaparer les marchés solvables, dans cette situation rêver de la paix mondiale, est un horizon à jamais inateignable, à supposer que notre planète résiste, à ce saccage, nos enfants sont mals barrés.
Mon propos c’est de dire que ce système en a plus ou moins pour 50 ans, et que d’ici là nous verrons des bouleversements sociaux que nous n’imaginons même pas, et que la société se dirige vers une hyper-violence des rapports sociaux du fait de la crise terminale du capitalisme agonisant.
La vieille ficelle des élections, ne sert qu’à embobiner et sert de légitimation aux politiques anti-sociales, "vous avez voté fermez-là pour 5 ans".
Seule une reprise en main par le peuple de la gestion de ses affaires pourrait être une solution, dans un type de gestion horizontale, et non pas verticale, car ni un césar ni tribun, ne peut sauver ce système.
Il est temps que nous reprenions le contrôle de nos existences au travers de démarches solidaires.
Je ne prétends pas être un diseur de vérité dernière, ni être dépositaire de vérités ultimes, ce n’est qu’un point de vue