Alain Soral à Genève : quand un "journaliste" suisse tente de comprendre le "phénomène"
1er novembre 2016 17:33, par CorsoEncore et toujours les mêmes ficelles, ça ne s’invente pas. Extrême droite (X3), racisme, propos antisémites ou homophobes, complotisme imprégné d’antisémitisme, etc. Pour sûr à chaque fois les "mots clés" sont présents. Parviendront-ils un jour à renouveler le stock de ce qui leur fait office d’argumentaire ? Qu’il s’agisse de l’ensemble du contenu d’E&R, des livres ou des vidéos de Soral, je ne vois pas l’ombre d’un de ces attributs bouche-trous et galvaudés.
Sur ce point "ses vidéos comptabilisent des dizaines de milliers de visionnages", ce sont des dizaines de MILLIONS sur la toile. Rien que le compteur global ERTV sur DM affiche 40 millions, puis il y a YT et autres plateformes, puis les copies des copies, les extraits, les compils, etc. Eh oui que ça plaise ou non le succès grandissant de Soral et E&R est indéniable. De moins en moins de citoyens sont dupes ou tombent dans le piège tendu par ceux qui fabriquent Soral à l’image d’un démon. Et de plus en plus le rejoignent ou adhèrent à ses analyses et son franc-parler.
Quentin Pilet fait mine de ne pas saisir le duo Soral/Hosein, c’est donc soit qu’il ne s’est pas du tout intéressé à Soral/E&R, soit il n’a pas la lumière à tous les étages, soit il est intellectuellement malhonnête, soit un peu des trois (qu’il fasse un tour sur KontreKulture, que le-dit amoureux de la Culture se cultive).
Il suffit de quelques dizaines de minutes ou quelques séquences de Soral, ou quelques clics sur E&R, pour constater la supercherie officielle justement, mettre à nu tout le bla bla des politiques et merdias corrompus, ayant fabriqué la fable Soral pire ennemi public (avec Dieudo) et a posteriori nous savons pourquoi. En revanche - en dehors des moisis et classiques "mots clés" avec seul but de diaboliser - pour critiquer ses analyses ou ses oeuvres, comme d’habitude, y a plus personne.