Il défend son pré carré avec la hargne d’un chien de garde. Son travail consiste à aboyer pour intimider, ça ne semble pas marcher, ils devraient alors changer le chien ! Il faut bien distinguer, dans cette affaire là, la différence entre le juif du quotidien et le juif politique, chacune des deux parties ne semblent pas parler la même langue, les enfants de déportés se comportent tout naturellement et sont incapables de comprendre qu’ils sont le jouets d’autres juifs. C’est pathétique, le combat est subversif, la façade légitime et sentimentaliste efface tout raisonnement !