Superbe analyse, qui confère au morceau d’anthologie. Tout y est, et c’est d’autant plus apprécié, lorsque l’on est né dans les année 50, pour être de la génération témoin de la dérive.
Le cinéma était un de nos divertissements favoris, mais devant la médiocrité de ce qui nous est proposé depuis quelques lustres, nous n’y mettons plus les pieds.
Nous sommes las, entre autre, de recevoir les sempiternelles leçons de morale ou d’antiracisme du niveau de la classe maternelle, d’autant qu’avec le privilège de l’âge, ont devient, avec un esprit un peu affûté, assez vite maître dans l’art de décrypter les manipulations du système, de plus en plus grossières d’ailleurs.