La Bulgarie impose l’open source dans son administration
10 juillet 2016 13:38, par karel
ça -peut- être bien... Quand des milliers de développeurs peuvent se pencher sur le code, le moindre backdoor devient évident, et si quelqu’un veut faire le fourbe, il doit justifier ce qui est envoyé, et qui est validé ou non par une communauté.
La plupart des erreurs en securité après tout peuvent être corrigées simplement, la plupart des exploits étant déjà connus. Un développeur ne peut cependant pas tous les connaitre, et l’open source est généralement pas trop mal pour parer ça.
A savoir que la, on parle de code, et pas de base de données. Personne n’a un libre accès aux données, du moins de manière directe, la seule chose possible est d’essayer de commit (Proposer) du mauvais code, mais celui ci sera généralement refusé après que de nombreux développeurs aient pu poser les yeux dessus.