À Mexico, un sifflet pour faire fuir le harcèlement sexuel
10 juillet 2016 07:54, par sempervirens
Les images de femmes au corps ’parfaits’ mais inopérants pour assurer leur autonomie en besoins primordiaux ; promues par le cinoche les pubs, ne sont que répliques du triomphe de l’argent dieu. Ne pouvant se montrer en complémentarité de l’homme celles ci souhaitent en faire des esclaves vampirisés seulement par la puissance de ostentation, ersatz de déesses, Baudelaire dans sa folie et le poème ;la beauté l’a parfaitement décrit.
Çà ne date pas d’hier le syndrome de courtisane vouée aux pain de fesses de luxe, aujourd’hui, elle n’en meurent pas toutes mais toutes en sont frappées, simple application du programme de destruction du couple de la famille, de la civilisation pérenne, par la dictature de l’apparence et du conformisme.
Quand on ’bénéficie’ de leur égards, sans lucre ni plaisir, on est bien déçu, frigidité, sécheresse, accompagnés de pauvreté intellectuelle sont leur lot. La plus pseudo belle fille du monde ne peut donner que ce quelle a, misogynie à part.