Le malade imaginaire – Un vent de folie souffle sur la justice grenobloise
10 juin 2016 21:02, par Antoine
Il nous faudrait un nouveau La Fontaine, pour décrire en vers le ridicule de ces personnages bouffis d’orgueil et de suffisance. Être moqués est ce que les "puissants" du moment détestent le plus, ils adorent être pris au sérieux et avoir les sans-dents à leurs pieds, alors qu’ils sont juste vaniteux et méprisables, utilisant leur fonction pour nuire à autrui et faire le mal. Va savoir s’ils n’y prennent pas leur pied.