Le travail ingrat des CRS face à des jeunes manipulés par des escrocs politiques
30 avril 2016 21:36, par Philippe
En fait, rien a vraiment changé depuis des décennies, dans ces manifestations, qui démarrent en monômes estudiantins pour finir en saccages de mobiliers urbains, de bris de vitrines et de voitures incendiées, se répétant à l’identique et où les forces de police sont utilisées à la fois, comme amortisseur et défouloir. De la sorte, le système sans fléchir, fatigue les manifestants tout en continuant d’imposer sa volonté : les dégâts et frais divers de nettoiement restant à la charge des contribuables. Pour inverser le rapport de force, les jeunes révoltés, comme il est écrit dans le présent article, devraient "s’en prendre aux responsables de la situation actuelle" et non à la police : "cela demande un peu de construction personnelle en politique...etc...", mais alors on sort du cadre de la manif autorisée et contrôlée, pour entrer dans la résistance, où le résistant est de facto, assimilé à un terroriste, avec en face, non plus un CRS caparaçonné mais un sniper avec des appuis militarisés. Si les jeunes manifestants venaient à changer de mode d’action, qu’ils sachent que les spécialistes de la subversion et de la contre-insurrection en connaissent parfaitement les mécanismes.