Bravo Vincent d’être resté droit, tant au sens littéral que figuré.
Le "C’est gentil, merci." était parfaitement bien placé et m’a bien fait rire !
Comme d’habitudes aux procès de Alain Soral le même cirque se met en place, où certains - toujours les mêmes - viennent assister au divertissement qu’ils adorent : la "mise à mort" de ceux qui, comme Vincent Lapierre, refusent de baisser les yeux et d’accepter le sort qu’on leur imposer sans broncher. Le délit de regard, comme avait dit Dieudo !
Ce genre de spectacle me font penser à la mise à mort de Jésus, les décideurs, rassemblés pour l’événement, se gargarisaient de pouvoir appliquer leur justice, gros doigt d’honneur à la plèbe.
J’ai d’ailleurs lu récemment que les sociétés où sacrifices humains étaient les plus répandus étaient les sociétés les plus inégalitaires. Les tenants du pouvoir, religieux, bien souvent, exécutaient ainsi les quelques pauvres qui s’insurgeaient des inégalités, tout en légitimant la mort comme volonté de dieu. Aujourd’hui les finances ont remplacé le religieux (quoi que, dans le cas actuel, les finances et une religion soient soudés !) et les sanctions pécuniaires ont remplacé la mise à mort (pour combien de temps encore !?)