Terrorisme : Cazeneuve s’en prend à Internet
23 mars 2016 09:46, par jeanquèteIl a appris un mot, l’idiot du village. Premièrement, il emploi des éléments de langage abusifs pour s’associer aux victimes ce qui est à peine scandaleux. Deuxièmement, les terroristes n’utilisent pas plus le darknet que le chiffrement, meilleur moyen de se faire repérer. Par contre, ils sont utilisés par l’Etat profond qui fonctionne en parallèle du reste et qui les protège. C’est à dire qu’ils sont utilisés par des cellules des services secrets, dont seuls quelques individus du gouvernement sont au courant, et pour sûr, ce type est au courant (même la police n’est pas au courant). Valls nous avait prévenus, il faudra s’habituer ! Un gars avec cette fonction aurait du dire (et surtout agir) "nous ne tolérerons pas..." ou autre, plutôt que dire "il faut s’habituer au terrorisme". Cette phrase à elle seule prouve que ce terrorisme est un joker dans la poche de ces parasites lorsqu’il perdent le contrôle social (en fait, ils veulent aller plus loin que le simple contrôle social)
Si cela était un terrorisme autonome, pourquoi frapper comme des nuls et toujours les capitales ? Le vrai terrorisme frappe partout et continuellement, surtout d’ailleurs où il est plus facile de le faire. Petites villes, concerts, rassemblements, etc... L’orchestration est flagrante mais les instigateurs s’en foutent, la pilule passe quand même grâce aux médias bien rodés à l’exercice car chacun le sait, ils utilisent des méthodes précises : répétition (effet d’exposition), biais cognitif de disponibilité (attention ciblée sur des événements spectaculaires), modification du jugement par l’information choisie, influence sociale (on désigne un suspect ce qui créer un lien inconscient), insistance sur le phénomène de réactance (sentiment de liberté, là atteinte par ces actes), usage d’arguments fallacieux, de sophismes et d’hyperboles, travail sur l’émotivité (effet de levier sur un "ennemi" commun), manipulation par l’image (orienter un discours, surestimation des faits, enchainement de plans pour association d’idées, effet de koulechov, images subliminales, etc).
En période de crise, nous sommes plus vulnérables à la manipulation. La liberté de jugement en est défaite. Ils obtiennent ainsi attention, adhésion et soumission.