Suite…
Seulement, ayons à l’esprit que le cerveau en tant qu’organe de liaison, en l’absence de référence à stocker, se sent insécurisé. Et, pourrait-on croire dysfonctionne au regard du conditionnement des élites expertes autoproclamées. Un dysfonctionnement étiqueté si fortement qu’il ferait se précipiter dans le retrait ou la retraite spirituelle, loin de la vie en société.
Cependant, voir le processus d’insécurité lié au fonctionnement de la pensée donne au cerveau une véritable liberté de penser. Ce dont a si tant besoin la pensée qui sait bien que la liberté de penser ne provient pas, ni n’existe dans l’espace limité du cerveau. Mais son attrait pour la vie est si grand qu’il sait accueillir la liberté.
Dans la permission d’une prescription psycho & logique - sans ingérence - nous inscrivons que la bonne heure est celle où nous répondons totalement à la sensation de tout son être, de tout son cœur, corps et esprit avec passion : « Oui ».
Et, ainsi se détache la mémoire devenue inutile (à un degré où elle n’a plus sa place) qui induit la répétition de l’âme désolée d’être attachée partiellement au conflit selon sa crainte d’être seule, comme en exil loin de ses racines. Et l’instant devient grave. Et la tristesse se saisit d’elle… Néanmoins, le voir donne l’espoir de deux qui se reconnaîtront, puis trois, voire quatre et ainsi, de suite… Ensemble dans la reconnaissance, à un autre niveau, de l’extraordinaire trajectoire du cerveau, de la mémoire et de son histoire.
Bien à vous Me Viguier et au peuple de Syrie ;
Et bonne route à la bonne heure sur celle de Damas et/ou d’ailleurs.