Finkielkraut vs Cohn-Bendit : sioniste de droite contre sioniste de gauche
31 janvier 2016 11:32, par demosIl faut juste constater chez tous ces intellectuels juifs monopolisant la sphère médiatique, qu’ils n’ont en fin de compte le plein exercice de leur raison que dans un but unique : servir le motif profondément ancré dans leur nature inconsciente, qui asservit leur libre-arbitre et leur objectivité, au service exclusif d’un instinct de de domination et de préservation de caste, ’de race’.
Ce qu’il faut toujours avoir à l’esprit avec les intellectuels de cette communauté : Ils utiliseront systématiquement tous les artifices de dialectiques pour en préambule camoufler sous des atours d’objectivité et de raison, la subjectivité inhérente, le parti pris ethnique inavoué, qui motivent immanquablement toute leur réflexion. Dans un deuxième temps, ils chercheront alors à introduire dans le débat, quasiment en toute circonstance et quelque soit le sujet, les éléments de langages permettant de relier le décor de la discussion à leur sémantique de prédilection : la souffrance juive, la Shoah, tous les prétextes tirés de l’histoire et exploités ad vitam aeternam pour imposer leur hégémonie sur les peuples de l’Europe par un stratagème massif de culpabilisation.
Car finalement, la plus grande angoisse reliant derrière le décor de la joute théâtrale, Finkelkraut et Cohn Bendit dans une connivence viscérale, ce n’est même pas directement le fait que l’antisémitisme, leur fond de commerce sémantique, soit à l’évidence devenu aujourd’hui l’apanage de sémites musulmans (et non plus d’européens inventeurs du nazisme), ces allogènes européens jadis parés de toutes les vertus par ces intellectuels juifs, instrumentalisés avec la complicité intéressée du patronat, pour dissoudre plus avant encore la cohésion ethnique des nations européennes et briser la possibilité d’une résistance post-traumatique des européens.
Non, ce qu’il craignent avant tout, ces petits soldats de la domination juive, c’est tout simplement de ne plus pouvoir asséner méthodiquement au public, la dialectique rodée depuis soixante-dix ans, cette rente intellectuelle garantie-or, qui leur permettait d’asseoir leur pouvoir et d’exonérer à priori tous les excès hégémoniques d’Israël, sur la culpabilité immortelle de l’occident, la faute originelle des chrétiens, travestie par ces manipulateurs-nés en arme massive de dissuasion de toute résistance à leur pouvoir. Manque de chance, l’histoire est en train de se retourner sur ces pompiers pyromanes.