La seconde lettre du Guide Suprême aux jeunes d’Europe
30 novembre 2015 01:14, par ZAISMerci à ER de m’avoir orienté vers cette lettre.
Il y a deux passages que je relève :
1.« Tant que des critères contradictoires règneront dans la politique occidentale, tant que le terrorisme sera divisé, aux vues de ses puissants protecteurs, en bon et mauvais terrorisme, et que les intérêts des gouvernements prévaudront sur les valeurs humaines et morales, il ne faudra pas chercher ailleurs les racines de cette cruauté. »
Attaque directe et claire contre la politique idiote et scandaleuse menée depuis des années en France par notre superstructure de droite et de gauche .Ces machiavels de caniveau se croyaient très malin de jouer avec le feu ;et bien ils s’y sont brûlés.
Le discours de Hollande aux Invalides nous parlant de "fatalité" , de "génération bataclan" etc. tenu devant les familles en deuil était tout simplement ,de mon point de vue, ordurier.
2.« Il faut faire une analyse complète qui mette à découvert les impuretés visibles et invisibles de la société. Il est possible que la rancune profonde qui, au cours de ces années d’épanouissement industriel et économique, s’est installée dans le cœur de certaines couches des sociétés occidentales, à cause des inégalités et éventuellement des discriminations légales et structurelles, ait formé certains complexes qui de temps à autre, se manifestent de cette manière maladive. »
Mon père avant d’être en retraite était ouvrier (OHQ) dans les travaux publics. Je lui ai souvent fait remarqué depuis les années 80 que le récit haineux susurré par les socialistes et leurs officines à l’oreille des enfants d’immigrés dans les banlieues était si bien entendu à cause du venin du ressentiment inoculé par leurs pères. Le mien , à l’époque, n’a jamais voulu comprendre celà, car il idéalisait ses "copains" si "amicaux" et si "soumis" sur le chantier. Il croyait alors, au creuset républicain... Ce qu’il n’a jamais vu , c’est que la haine rentrée de ses "copains" qui se dissimulait sous le corset de "l’amitié" sur le chantier , se déboutonnait à la maison.
C’est ce qui a expliqué ce refus de s’assimiler à la France dans les générations qui ont suivi. On en voie les conséquences aujourd’hui chez les plus allumés et détraqués.
Espérons qu’il ne soit pas trop tard pour renverser la vapeur ...
Oui , cette lettre est très juste en maints passages...