Alain Deneault ne laisse pas sa place non plus !
Oui, d’un côté, il y a Falardeau, comme symbole flamboyant et virile de la résistance souverainiste québécoise, mais d’un autre côté, il y a Deneault, il me semble, comme nationaliste, représentant de la pensée par concepts et de la réflexion mondialiste. Si l’on veut caricaturer, Soral se situerait peut-être entre ces deux pôles. Rappelons-nous que Deneault a été poursuivi par Barrick Gold pour des sommes astronomiques à la suite de la publication de « L’or noir, Canada : Pillage, corruption et criminalité en Afrique ». Plus récemment, l’essai « Médiocratie » dénonce la dictature du médiocre dans notre société, chez nos élites, si pauvres culturellement, ce qui était déjà mis de l’avant par Pierre Falardeau dans son excellent film « Le temps des bouffons ».