Dense et à réécouter.
Premier contact, malgré son renom, avec Claire Séverac, positif.
Premier contact, faute de temps, avec "L’heure la plus sombre".
Reproche mineur : sceptique sur ses positions sur le réchauffement climatique qu’elle n’avoue qu’à demi-mots : elle ne vit pas dans une région de glaciers et ignore alors que les deux grandes routes de l’arctique sont désormais ouvertes.
Mais femme sérieuse, ayant énormément travaillé, cela se sent. Et les interviewers sont à niveau pour faire passer les messages - c’est sincère, on sent le travail en amont aussi.
Merci, donc, à Claire Séverac et à l’équipe de "L’heure la plus sombre".
P.S. : énorme morceau, grâcieusement diffusé en interlude, de Lamotta. :)