J’ai vu récemment un documentaire sur Mayotte et ses problèmes de clandestins.
On y voit notamment un autochtone se plaindre des nuisances causées par les étrangers.
Je me suis fait la réflexion "si on coupe l’image, rien qu’au son on peut croire que c’est un blanc de chez blanc qui parle", sauf que c’est un noir, tout ce qu’il y a de plus noir. Comme quoi, aucun média ne laisse un blanc tenir de tels propos, pourtant objectifs et issus d’une colère légitime, car quand c’est un blanc qui le dit c’est forcément du racisme... donc on lui coupe la parole.
La raison évidente de ce deux poids, deux mesures tient au fait que la libre critique de l’immigration peut aboutir à la fin de ce phénomène organisé (à partir du chaos) et à la régénérescence des nations européennes.
Au sujet de ces événements en Afrique du Sud, comme à leur habitude les gauchistes ne manqueront pas de mettre ça sur le dos des blancs, car ils pensent que "les problèmes des noirs sont depuis toujours causés par les blancs", telle une loi de la nature.