Les 2 fréres kouachi avaient passé 6 ans à Treignac en Corréze, pour ceux qui ne connaissent pas, un bourg magnifique, chargé d’histoire, un cadre sublime (grands arbres et massif des Monediéres, ou les deux fréres y étaient pris en charge par la fondation Pompidou dont je ne connais pas la partie prise en charge par l’état, donc nous, au titre d’utilité publique), baigné par les affluents de la Vézére et proche du lac des Barriousses.
Issus d’immigrés d’origine algérienne, le père étant apparemment décédé, ils ont été placés avec une soeur et un frère plus jeunes dans ce centre de formation hôtelière dans le cadre de l’aide aux familles en difficultés.
On ne peut pas concevoir de prise en charge plus hospitalière par la France pour cette famille algérienne et pourtant, rien n’a empêché la furie meurtrière de ces individus.
C’est assez édifiant pour ceux qui se questionnent encore par les capacités d’endoctrinement sur les "faibles d’esprit" mais qui, armés d’une kalachnikov, peuvent faire un carton sur les autres.
"Nous ne sommes pas sortis de l’auberge".