Hollande, Cohn-Bendit, Bové : Gérard Depardieu règle ses comptes
27 décembre 2014 04:42, par RédemptionLe système ne veut plus de vrais hommes aujourd’hui chez les acteurs français. On a la version efféminée dans la nouvelle génération. Depardieu fait partie de la dernière vague des vrais hommes, façon Gabin, Ventura, Montand, Delon, Belmondo. Or l’humanité n’a encore pas trouvé le moyen de s’unir autrement qu’autour d’un chef, d’une verticalité. C’est pourquoi Depardieu martelle avec raison le symbolique arrachage du pommier, l’arbre du jardin d’Eden qu’était la France, avant que ces essaims de jaloux ne formulent le dessein de vouloir la détruire. Un arbre c’est vertical, ça a des racines, et des branches qui étendent leurs bras pour étreindre le ciel, presque comme en priant. C’est nous qu’on déracine, qu’on transforme en végétaux amorphes qui flottent à la surface d’un étang glauque. Mais on leur réserve un chien de notre chienne qui aura des dents aiguisées et la mâchoire puissante. On rase gratis qu’ils nous disent depuis des générations. L’état n’est pas en soi l’ennemi, mais c’est son usurpation par des gens qui au lieu de défendre les intérêts bien compris des électeurs, n’ont de cesse qu’à leur serrer la vis, c’est leur conception du serre vis public. Effectivement, avec ces taux de prédation fiscale, et le chômage entretenu délibérément, on ne peut plus rien garder. On en a rien a foutre de leurs conception du désert. Qu’ils aillent s’entraîner dans les sables. Ici chez nous, il y a des forêts, des rivières et des fleuves, des étangs et des lacs, des mers et un océan, et nous avons acquis les vertus de notre territoire. Qu’ils aillent régler leurs comptes de frères ennemis, ailleurs, chez eux, au désert. Quand ils se verront de plus en plus entourés de silence, ils partiront d’eux-mêmes. Ne plus parler, ne plus écouter ces voix du désert, mais entendre le doux murmure des ruisseaux qui coulent et irriguent nos âmes. La vraie révolution commence par fermer leurs écoutilles, par jeter les télés par les fenêtres. La France c’est plus qu’une nation sur un territoire, c’est une lumière dans le monde, et quel que soit la place sur terre où Depardieu se trouve, il en est le porte flambeau. Regardez cette guimauve qui nous gouverne : qu’avons nous fait au bon Dieu pour mériter cette indignité ? Oui, il nous faut des hommes de par Dieu, qui nous transmettent ce que Dieu veut pour la France et pour chacun de nous. Notre nation a su produire Jeanne d’Arc. Si on y pense assez fort, une autre viendra peut-être.