La Grèce, 4 ans après : bilan des effets de l’austérité sur la santé des peuples
25 octobre 2014 19:47, par Caron
Le taux d’avortement chez les femmes grecques est NEUF fois plus important que chez les françaises ; de plus la GPA étant légalisée en Grèce depuis 2002, les femmes grecques pauvres y ont recours . Un bébé d’une mére porteuse grecque : 30-40 000 euros . Donc la femme grecque avorte car elle est trop pauvre pour élever un enfant, mais elle porte un enfant pour autrui pour pouvoir manger... C’est encore plus triste que l’histoire de Fantine qui vendait ses cheveux et ses dents pour élever Cosette .