Les villes françaises à l’heure du mondialisme : l’exemple de Pamiers (Ariège)
26 septembre 2014 12:31, par Sokrat
Toulouse-Pamiers : 70 kilomètres, autant dire une banlieue dortoir de Toulouse, d’autant plus qu’il y a maintenant l’autoroute.
Pour avancer face à des réponses comme "ça apporte des emplois" qui ont été faites quand on émettait la remarque sur l’utilité de création de studios de cinéma à Pamiers, il faut avancer sur ce que savent faire les gens, en âge de travailler, sur Pamiers et axer déjà sur un retour à la terre, pour commencer. Ceux qui tiennent les murs, à Pamiers ou ailleurs, ils ne savent même pas planter des choux ? Toutes les terres sont déjà cultivées ? Pas la moindre jachère ? Rien ? Il faut chercher au niveau de la mairie s’il y a des jardins ouvriers, ou si l’on peut en créer. A quel tarif de location ? Etc. Au moins à partir d’un noyau de gens déterminés. Ensuite on va beaucoup plus loin, mais là, vu ce qui est dit dans l’article, on est en terres anciennement socialistes et "radsoc" (Cintegabelle est juste à côté de Pamiers) et, soit tout le monde a de l’argent et aucune dette, ou bien tout le monde n’a pas d’argent et veut s’en sortir par le travail. Expérience à tenter. Attention il y a des vols de nourriture dans les champs de France, de nos jours.