Cessez-le feu à Gaza : Israël tenu en échec par la résistance palestinienne
28 août 2014 02:03, par solmed(suite3)
Sur un plan interne, l’entité sioniste criminelle est sens dessus dessous. Le gouvernement a passé son temps ces dernières semaines à s’entredéchirer, s’accuser et s’insulter. Netanyahou a pris sa décision sans en référer à l’ensemble du cabinet, l’armée est prise pour cible de critiques dont la virulence est exceptionnelle, du jamais vu depuis 1948. La côte de popularité du criminel de guerre Netanyahou est à son plus bas niveau avec la quasi certitude d’une mort politique imminente. Les colons du sud de l’entité criminelle ont totalement chamboulé le paysage politique et ont accusé leurs dirigeants politiques et militaires de faillite totale, les abreuvant au passage d’insultes inouïs et les traitant d’incompétents. Sur certaines images, ils accueillent les insultes de la population la tête baissée parce que aucune promesse n’a été tenue, c’est carrément impressionnant ! La population vit une crise morale sans précédent, la peur est désormais présente au quotidien pour toute la population. Des témoignages télévisés montrent des familles impuissantes pleurant tellement elles sont traumatisées, des parents de militaires affolés par ce que leur racontent leurs enfants sur les nouvelles du front. Bref, une image totalement absente de vos écrans et qui pourtant est visible en « sioniste land ».
Sur le plan économique, les résultats sont simplement désastreux. La moitié du pays était mort pendant 51 jours, l’autre moitié vivait au ralenti. Le seul aéroport international était fermé pendant plusieurs jours, les ports fonctionnaient au ralenti, s’ils n’étaient pas clos. Les usines et les entreprises économiques du pays ont subi des pertes colossales, les investissements étrangers ont diminué de plus de 30% (probablement au-delà de 50%). Tout le pays est en état de choc, n’a plus confiance en son armée et en ses dirigeants politiques, des centaines de famille ont commencé à quitté l’entité criminelle dès après la deuxième semaine de guerre.