Le retour des Dibranik la France
19 juillet 2014 16:34, par Francois Desvignes1/ Selon Napoléon "les hommes n’obéissent que peur ou intérêt"
2/ Nous ne pouvons pas acheter nos ennemis puisque nous n’en avons pas les moyens.
3/ Nous ne pourrions que leur faire peur pour les convaincre de cesser leurs agissements ou de s’exiler.
4/ La peur la plus efficace est la peur primaire, physique, celle de perdre la vie, par opposition aux peurs intellectuelles, dites secondaires, celles par exemple d’être humiliés, dénoncés.
jugés.
5/ La peur suffit, le résultat rendu nécessaire est un échec : en effet, tuer son ennemi ne devient nécessaire que parce qu’il n’a pas eu suffisamment peur au point de se rendre ou de fuir.
6/ la stratégie de la peur suppose la radicalité dans le discours et dans l’acte et le mariage indissoluble du discours et de l’acte : il ne faut jamais macher ses discours et toujours les illustrer par la terreur.
Il en va de la survie de nos ennemis.
Il faut être "pédagogique" et "exemplaire"
7/Par exemple, il faut accuser publiquement les associations subventionnées d ehaute trahison, déposer plainte en ce sens, plastiquer leurs locaux, envoyer leurs effectifs à l’hôpital pour six bons mois et si la peur "ne suffisait pas" alors seulement condamner à mort un élu ou apparatchik par semaine (tiré au hasard dans la nomenklatura) jusqu’à satisfaction de nos revendications ELLES TOUTES ORIENTEES AU SOUTIEN DES INTERETS DU BON PEUPLE.
Et j’en suis sûr les seuls morts que nous aurions à déplorer dans leurs rangs, se compteraient sur les doigts d’une main, ce qui, au regard des accidents de la route serait peu de chose et au ragard de nos morts par leur faute, un grain de sable.
Il faut appeler le combat par son nom : ils nous ont déclaré une guerre sans merci où notre destinée est d’être dissous.
PS :
Si je vous écris ceci, ce n’est pas qu’aucun de nous entreprendrait ce carnage.
C’est seulement qu’avant peu d’autres que nous, nos sosies, le feront.
C’est ce que ne veulent pas comprendre nos élites : elles savent que nous avons raison, et sur l’analyse et sur la prédiction mais chez elles, l’intérêt de ne pas perdre leurs privilèges est plus fort que la peur de perdre la vie !
Elles perdront donc les deux.... en perdant la vie.