Je trouve cet article très intéressant car quoiqu’on pense de Zemmour il faut reconnaïtre qu’il n’est pas ostracisé par les médias que par le fait qu’il n’est sur une ligne anti-sionniste (ou plutôt sionniste-critique) plutôt molle et consensuelle et qu’il fait partie de la communauté élue contrairement à un Soral.
Je me rappelle de l’émission culture et dépendances de guiesberg vers le début des années 2000 avec une Isabelle Levy en chroniqueuse/critique qui était en duo avec un desouche apparemment qui lui a totalement disparu des radars médiatiques et s’occupait plus de couvrir les critiques purement littéraires, pendant que la Levy serinait le public de sa moraline sionnisto-droitière. A l’époque Finkelkraut était d’ailleurs invité très régulièrement et on lui donnait la parole de manière très large. Je pense que cette émission marque un tournant sur la prise en main idéologique des agents sionniste sur le paysage culturel français et dont guiesberg est un agent actif et influent (né aux états unis, très révélateur). Par ailleurs on peut remarqué que ce duo critique du juif qui se concentre sur une critique droitière de la société orientée anti-immigré et un françai faire valoir à qui on laisse le "prestige" de faire la critique littéraire (qui n’a aucune utilité dans une optique de domination par la pensée) à été reproduit par la suite par les fameux Zemmour et Naulleau. Dont ce dernier à d’ailleurs essayé de s’extirpé de cette seule spécialité de la critique littéraire ce qui lui a valu des critiques.
Je pense donc que l’analyse globale de cet article est juste et Zemmour n’est que l’extrême d’un arc de pensée d’origine juive, et dont je placerais un Claude Askolovic sur l’autre extrême de l’arc. Et à la fois dedans et à l’exterieur de ce cercle on a quelques electrons plus ou moins libre comme un Axel Kahn qui a un discours parfois plus nuancé.