Après l’Argentine, les faillites d’État entrent en terrain inconnu
19 juin 2014 08:59, par pffDonc : c’est aux USA que l’Argentine croit pouvoir laver son linge sale. Théâtre.
Donc : il y aurait des fonds qui auraient faits des ristournes. Théâtre.
Donc : la dette serait légitime. Théâtre.
Donc : tous le monde devrait désormais s’aplatir et toujours se soumettre au racket. Théâtre.
Donc : les états s’endetteraient par nature. Théâtre.
Donc : il est d’une grande politesse qu’un état paie, malgré le malheur de son peuple. Théâtre.
Donc : la dirigeante qui paie est une opposante polie et tous devront en prendre de la graine.Théâtre.
Donc : il n’y a aucun moyen d’en sortir. Théâtre.
Non dit : les états doivent jugés chez eux de la légalité de leur dette.
Non dit : les états peuvent créer eux-mêmes leur monnaie, sans intérêts.
Non dit : qui sont exactement les vautours : des noms !!!
Non dit : dans un cas pareil, c’est un référendum qui doit trancher.
Non dit : rien ne change, ça a toujours fonctionné ainsi, tant qu’on laisse les usuriers aux commandes.
conclusion : grosse propagande qui appelle à la soumission financière. Comme si un proxénète racketteur envoyait l’une de ses putes répandre la rumeur qu’il faut tout payer, toujours, car le tribunal des racketteurs en a jugé de la sorte, et surtout, qu’il n’y a pas d’alternative. TINA (There is no alternative, dixit Margaret Thatcher), comme quoi, rien de nouveau.