Le plaisir dans sa dimension profane a tué toute magie, toute verticalité. On ne fait plus l’amour... par amour, justement (!) mais on baise, sans tendresse, comme dans un documentaire animalier (film porno ? appelez-ça comme vous voulez !)
Tous les domaines de notre vie, même les plus intimes, sont ramenés à leur dimension matérielle et à une jouissance cynique et égoïste. Le désenchantement de ce monde est terrible... Rien que pour ça, on aura mérité notre sort.