Maroc : heurts entre habitants d’un bidonville et policiers à Casablanca
8 juin 2014 20:36, par Un marocain, un vrai.Il faut savoir avant de parler qu’autant que citoyens marocains de la classe populaire, on connait leur stratagème mieux que personne. Quand les autorités ont fait le recensement la première fois, ils avaient prit en compte les jeunes de plus de 18 ans mariés, et ont proposées de reloger les familles dans des appartements et ont données des parcelles aux jeunes couples. Le probleme est que les parents ont vendu l’appartement et que les petits (mineur à l’époque) se sont mariés et demande aujourd’hui d’avoir des appartements ou des parcelles.
Il faut comprendre que ces gens ont pour la plupart les moyens de se payer un logement mais ne veulent pas pour pouvoir profiter de tout ce que le gouvernement a à offrir. Un autre probleme est que ces pseudo organisme de droit de l’homme ne connaissent pas la vérité car pour la plupart ce ne sont que des gens de la classe très très riche ( comment peut on être bénévole ou employé d’association "humanitaire" et vivre au centre d’une ville comme Casablanca).
Pour finir, Je suis un jeune diplômé (sans emploie) de la classe populaire "supérieur",Al hamdoulillah (grâce à dieu), je ne manque de rien, mais je pense que si il faut donner à ceux qui n’ont pas un appartement ou encore une parcelle, je peux vous assurer que ces gens ont en plus que moi (en plus, on a toujours payé tout nos impôts, pour la plupart ils sont prélevés de la source donc pas le choix) Pourquoi donc eux, qui ont vendu leurs terres agricole il y a deçà des années et sont venu habités des bidonvilles, et qui ont depuis acheté des magasins et font du commerce sans versé d’impôts, mériterai ces logements. Faut être réaliste, les sortir de la "précarité" pas de probleme, mais céder à tous leurs caprices......My ***. Ils disent qu’ils sont 5 familles à se partager une seule baraque de 10 m² (impossible), alors pourquoi ne peuvent-ils pas habité un 65m² ?
P.s : si d’autre pays le font tant mieux, moi je sais que nous n’en avons pas les moyens. Ceci n’est pas du chauvinisme mais du pragmatisme.