"Affaire" Ernests Gulbis : l’étonnante vision des femmes des journalistes
31 mai 2014 23:58, par Mich
C’est sûr, il vaut mieux qu’un papa frappe sa fille pour qu’elle devienne championne de tennis, c’est autrement moins dangereux qu’une fille qui veut devenir maman... Ils peuvent continuer à faire leurs vierges effarouchées ces débiles. Ca n’a de secret pour personne : les championnes de tennis ont toutes eu d’étranges ou houleuses relations avec leur papa et/ou leur entraîneur... Les Navratilova, Graf, Seles, Hingis, et plus récemment Bartoli... Quelle belle émancipation n’est-ce pas ? Gulbis ne fait qu’émettre un avis qui s’explique parfaitement, bande de tocards.