L’euro fort efface la croissance du chiffre d’affaires trimestriel de Renault
25 avril 2014 11:15, par ser
Et alors... !? Renault entreprise en déficit chronique durant des décennies, renflouée sur l’argent public ne devrait plus exister depuis longtemps. Faudrait-il désormais que ce gouffre se nourrisse sur une dévaluation qui s’en prendrait, entre autres, aux épargnants sans prendre en compte une notion de bilan économique national global. C’est trop compliqué... ?