L’Yonne républicaine, l’extrême droite et le droit de réponse
6 mai 2014 21:17, par DartSeul les outils de propagande de la pensée unique ont droit à la parole, d’ailleurs ils sont grassement subventionnés pour cela, et c’est pour cela qu’on ne les lit pas (lolololol)
En ces temps d’imposture universelle, on évite la soupe frelatée que nous serve les mérdias de la pensées maçonnico sionniste.
On vient chercher la vraie info et la vraie analyse chez E&R par exemple, et on écoute l’avis d’intellectuels éclairés, d’humoristes ou de véritables historiens...
Les torchons de manipulation du sieur bananarabas ou de la femen boréal, pardon monghol, on s’en temponne le coquillard.
Leur manipulation n’entraine que l’éclatement de la vérité et la radicalisation de l’opinion publique..
Les kapos et les nervis du système peuvent diffamer, diaboliser à outrance (et même à outreau) nul n’a le droit de se défendre par lui même, chacun doit passer par ce même système et ester afin d’obtenir réparation...
On arrive au bout de ce système gangréné par la corruption et le mensonge, aux armes (melissmell)
Allons enfants de la patrie
Le jour de gloire est terminé
Entre nous deux, la tyrannie
Sous l’étendard, sang est levé
Entendez vous dans nos campagne,
Mugir nos pauvres, de faim de froid ?
Qu’ils viennent jusque dans vos bras,
Pleurer dans nos ville, nos sarcasmes
Aux armes aux armes
Et cætera
Que veut cette horde de militaires
De traîtres et de rois conjurés ?
Pour qu’ils nous prennent, quand ils nous traitent
De cons, de braves, de pauvres français !
Quoi ? Ces cohortes étrangères
Feraient la lois dans nos foyer ?
Quoi ? Nos flics, soldats, mercenaires,
Alors qu’on est tous étrangers !
Aux armes aux armes
Et cætera
L’État comprime et la loi triche
L’impôt se rie des malheureux
Nul devoir ne s’impose aux riches
Le droit du pauvre est un mots creux
Des preuves qui se ramassent à l’appel
L’égalité n’existe pas
Pas de droits sans devoirs dit elles
Égaux à la naissance parfois...
Liberté lie bêtes et chérie
Ceux qu’on la tune, n’ont que l’odeur
Amour sacré de la patrie
Et la fraternité se meurt.
Aux armes aux armes
Et cætera
C’est la lutte finale
Un combat d’initiés
Sont les perdants qui gagnent
Nos dames « émancipées »
Les médias sous le rois
Mon peuple articulé
D’un pantin au long bras
Faut pas venir pleurer...
Aux armes aux armes
Et cætera
Faites entrer l’accusé !