"Les Ougandais préfèrent mourir pauvres que de vivre dans une nation immorale"
27 février 2014 20:05, par MivilleSi l’on veut enrayer le fléau qui pousse nos pays vers la situation ou croupit la Grèce (pays gouverné et maintenu dans la misère par une élite homosexuelle depuis Périclès, berceau de la démocratie tant vanté par les élites financières de toujours), il faudra des mesures de redressement violentes du genre que promulgue l’Ouganda. Le pouvoir gay n’a que faire de notre tolérance, il veut la domination sans partage et la réduction de tous les non-initiés à ses pratiques à un statut d’esclaves et d’instruments de travail. L’homosexualité militante est la formulation dans la chair de la volonté de mépris de l’humanité ambiante. On ne peut même pas lui laisser un petit espace de liberté quitte à l’empêcher de faire la promotion de son style de vie, cette tolérance à la française est précisément ce qui a valu à la France sa déchéance actuelle. Les réseaux de tolérance tacite de cette pratique sont encore plus dommageables que sa forme militante : ce sont toujours des réseaux d’accaparement du bien public.
Je suis toutefois contre l’homophobie sur un point précis : ce que je reproche aux gays, ce n’est pas leur amour de quelqu’un du même sexe, c’est le plaisir qu’ils prennent. C’est leur volupté, et la volupté dans l’amour est la source de toute malhonnêteté, peu importe que l’objet du désir soit de l’autre sexe ou du même.
Sauf que l’individu qui tient à maximiser son plaisir en laissant de côté toute autre considération a un avantage évident à faire le choix homosexuel, car l’acte hétérosexuel biologique comporte des mécanismes correcteurs et des garde-fous qui punissent vite le libidineux, entre autres la mise en oeuvre d’un processus d’appauvrissement et d’exclusion sociale. L’homosexualité a pour but d’enrayer ce mécanisme anti-débauche inscrit dans la nature, et de permettre à l’individu de croître en crédit financier (toujours parasitaire).
Les Noirs, du fait justement de leur moins grand contrôle biologique de leur libido, sont plus bas dans l’ordre de la nature, et donc plus esclaves de mécanismes biologiques naturels leur imposant les états totalitaires nécessaires à leur survie au jour le jour, ce en dépit du fait qu’à titre individuel ils soient plus souvent gay ou bi que les autres races. La mixité des autres races avec la noire relève du même désir sexuel désordonné et ce n’est pas un hasard si les droits des gays et des noirs sont toujours sous le même drapeau de revendication, malgré la haine réciproque des deux communautés.