Avortement : le président équatorien Rafael Correa demande à l’ONU de s’occuper de ses affaires
21 janvier 2014 11:36, par FrédérickExtraits tirés de sa fiche Wikipedia :
« Durant cette brève période, [ministre de l’Économie et des Finances en 2005] il promeut une politique de gauche, opposée aux propositions de la banque mondiale et du FMI. »
« Partisan d’une politique souverainiste et d’intégration régionale, il est opposé à la dollarisation et au Traité de libre-échange (TLC) avec les États-Unis et soutient une plus grande participation de l’État en ce qui concerne l’exploitation du pétrole et la gestion des ressources pétrolières, ainsi qu’une renégociation de la dette extérieure. »
« Correa refuse cependant de présenter des candidats aux élections législatives, estimant le parlement discrédité par la “partitocratie” et annonce son intention, en cas de succès, de promulguer une nouvelle Constitution. »
« Conformément à sa promesse électorale, Correa annonce lors de son investiture la tenue d’un référendum le 18 mars 2007 dans le but d’autoriser la création d’une assemblée nationale constituante chargée de rédiger une nouvelle constitution. L’objectif de cette nouvelle constitution serait de limiter le rôle des partis politiques. »
« Correa a par ailleurs annoncé la diminution par deux de son salaire ainsi que la diminution des salaires des hauts fonctionnaires équatoriens. Le pays s’est déclaré en défaut de paiement sur sa dette extérieure en décembre 2008. Le président a argué d’ “irrégularités” pour justifier sa décision. Ces irrégularités sont constatées par un audit. »
« Le jeudi 10 octobre 2013, une dizaine de jeunes militantes se sont dévêtues à l’Assemblée nationale pour marquer leur engagement dans la lutte en faveur de la dépénalisation de l’intervention volontaire de grossesse en Équateur, pays marqué par le conservatisme et le poids religieux. À la suite de l’incident, le président Rafael Correa a déclaré qu’il démissionnerait si la loi sur la dépénalisation de l’IVG venait à être votée. »
« À l’assemblée générale des Nations unies de septembre 2007, Correa s’est engagé “à ne pas exploiter 920 millions de barils de pétrole afin d’éviter l’émission de près de 111 millions de tonnes de carbone dues à la combustion de matières fossiles.” Il a noté cependant que cette décision impliquera “une diminution de l’ordre de 720 millions de dollars en termes d’investissements étrangers, ce qui ne manquera pas d’affecter fortement l’économie équatorienne.” »
« Il se définit comme humaniste et chrétien de gauche. »
GAUCHE DU TRAVAIL, DROITE DES VALEURS.